L’Amour pour soi, joyau et clé de voute de votre édifice
Accepter… aimer…
Chaque moment et événement de notre vie nous invite secrètement à faire grandir notre acceptation et notre amour pour nous-même.
Accepter n’est pas à proprement parler « aimer » ; pourtant, nous ne pouvons accepter que parce que nous savons aimer. Cela en est le préambule. Dans cet espace ouvert, libéré de toute lutte intérieure ou extérieure, la paix qui a toujours été se révèle, et emplit totalement l’espace. La paix est la même énergie que l’amour.
Dans les épreuves de l’existence, les moments d’effondrement, de perte…, faire, lorsque nous le pouvons, le choix d’accepter ouvre le passage vers la compréhension du sens véritable de ce que nous vivons. Un autre regard nous est donné, une perspective plus élevée. Toute chose est à sa place. L’a toujours été.
Acceptation de soi : le retournement
L’acceptation de soi, ou l’abandon du désir de nous changer, le lâcher prise de notre espoir tendu vers la perfection par le contrôle, est la dernière chose que nous sommes prêt à faire. La lutte est féroce. Nous sommes à des années lumière d’avoir l’idée qu’en nous permettant d’être chaque chose que nous sommes, nous passons de l’enfer de la haine de soi, au soulagement infini de comprendre que nous sommes simplement assis à la grande table des humains. Ni meilleur, ni pire qu’aucun de nos frères.
L’acceptation de soi est ce qui change TOUT. Par sa grâce, ressentir et recevoir l’amour qui nous est donné à flot et nous entoure, depuis toujours et pour toujours, devient réel. Et il n’y en a qu’un ou qu’une qui puisse dire Oui à cela.
Acceptation de soi : le retournement
L’acceptation de soi, ou l’abandon du désir de nous changer, le lâcher prise de notre espoir tendu vers la perfection par le contrôle, est la dernière chose que nous sommes prêt à faire. La lutte est féroce. Nous sommes à des années lumière d’avoir l’idée qu’en nous permettant d’être chaque chose que nous sommes, nous passons de l’enfer de la haine de soi, au soulagement infini de comprendre que nous sommes simplement assis à la grande table de l’humanité. Ni meilleur, ni pire qu’aucun de nos frères.
L’acceptation de soi est ce qui change TOUT. Sans elle, ressentir et recevoir l’amour qui nous est donné à flot et nous entoure, depuis toujours et pour toujours, est inaccessible, comme hors de notre univers. Et il n’y en a qu’un(e) qui puisse dire Oui à cela.
Origine
Enfant, nous savions de façon innée aimer les autres. Mais à cet âge, nous aimer nous-mêmes et nous pardonner ne pouvait nous venir que de l’expérience de nous sentir aimé pour qui nous étions et de nous savoir accepté sans condition. Quel saut dans le vide, aujourd’hui, d’oser l’opposé de ce que nous avons cru être notre survie… le frisson de la libération…
Origine
Enfant, nous savions de façon innée aimer les autres. Mais à cet âge, nous aimer nous-mêmes et nous pardonner ne pouvait nous venir que de l’expérience d’être aimé pour qui nous étions et accepté sans condition. Quel saut dans le vide, aujourd’hui, d’oser l’opposé de ce que nous avons cru être notre survie… le frisson de la libération…
Pour tous ceux qui
Pour tous ceux qui
- S’isolent ou se sentent seuls
- Dénient leurs propres besoins
- Blâment les autres ou la vie, ont le sentiment d’être une victime dans l’existence
- Ressentent de la honte et de la culpabilité
- Se cachent, se sont retirés du flot de la vie
- Ont besoin de perfection – sinon rien !
- Craignent les figures d’autorité, redoutent les critiques, sont avides d’approbation, de validation
- Ne savent pas gérer leur colère et celle des autres
- Fuient dans le travail, souffrent d’un comportement compulsif ou dépendant
- Ont besoin de tout contrôler pour se sentir en sécurité
- Ont peur de manquer
- Se sont isolés ou se sentent seuls
- Dénient leurs propres besoins
- Blâment les autres ou la vie, ont le sentiment d’être une victime dans l’existence
- Ressentent de la honte et de la culpabilité
- Se cachent, se sont retirés du flot de la vie
- Exigent la perfection – sinon rien !
- Craignent les figures d’autorité, redoutent les critiques, sont avides d’approbation, de validation
- Ne savent pas gérer leur colère et celle des autres
- Fuient dans le travail, souffrent d’un comportement compulsif ou dépendant
- Ont besoin de tout contrôler pour se sentir en sécurité
- Ont peur de manquer